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Et si Dieu répondait vraiment aux cris du cœur ?

Dieu est le Créateur de toute chose. Dans la Bible, il est écrit : « Elohîms crée l’humain à son image, à l’image d’Elohîms il le crée » (Genèse 1:27). Pourquoi ? Serait-ce parce que, depuis avant la fondation du monde, son désir profond est d’être en Ehad (unité, communion) avec l’homme ?

Pourtant, aujourd’hui, croyons-nous tous en Lui ? Savons-nous tous qu’une relation avec Lui est possible ? La réponse est non. Beaucoup cherchent sans trouver, prient sans sentir de réponse, doutent devant le silence apparent. Mais à celui qui veut être retrouvé, Dieu offre une solution : son nom est Jésus (Iéshoua en hébreu).

Pourquoi Jésus ? Parce qu’il est bien plus qu’un simple guide ou un sage. Il est le chemin qui mène directement à Dieu. Lorsqu’Il déclare : « Nul ne vient au Père sinon par moi » (Jean 14:6), cela signifie qu’Il est l’unique médiateur, la seule porte d’accès à une relation restaurée avec le Créateur. Cette affirmation peut sembler radicale, mais elle s’explique par sa nature même : Jésus n’est pas seulement un prophète ou un maître à suivre, Il est le Fils choisi par Dieu pour nous ramener par son sacrifice à notre Père !

Mais comment appeler ce Père ?

Imaginer un Dieu suprême, infini, peut sembler impossible. Les religions en ont parfois fait un juge lointain, un législateur strict, ou une énergie impersonnelle. Dans l’Islam, on insiste sur Sa transcendance, Ses commandements (halal-licites/haram-interdits), les rituels. Dans le christianisme traditionnel, les rites parfois étouffent la simplicité d’une relation vivante. Les traditions spirituelles parlent parfois d’une Source, d’une Conscience universelle, d’un principe divin sans forme définie.

Et si Dieu était à la fois plus grand que tout… et plus proche qu’on ne l’ose croire ? « Si tu cries vers moi, je te répondrai » (Jérémie 33:3). Pas à travers des formules magiques, mais dans une intimité surprenante. « Abba ! Père ! », s’écrie Paul (Romains 8:15), nous pouvons nous aussi appeler ainsi notre Papa Céleste et ce positionnement d’enfant de Dieu vient alors briser le mur entre infini et intimité.

La science rejoint-elle cette intuition ?

La physique quantique montre que l’invisible influence le visible. Des particules intriquées réagissent à distance, comme liées par une connexion insaisissable. Et si notre esprit, notre cœur, étaient intriqués avec le Créateur ? « En lui nous vivons, nous nous mouvons et nous sommes » (Actes 17:28).

Et si c’était vrai ?

Comme je l’ai écrit à plusieurs reprises, personnellement je l’ai cherché partout. Dans les livres, les religions, les philosophies, les courants mystiques. C’était certes intéressant, parfois émouvant, mais toujours je ne le trouvais pas. J’admirais les vitraux sans voir la lumière. Je sentais une déception dans mon cœur, à chaque nouvelle approche, car je ne trouvais pas dans cette quête Celui que je voulais rencontrer.   Et puis un jour, à 56 ans, j’ai enfin compris : ce n’est pas moi qui L’avais trouvé, mais Lui qui patiemment m’avait retrouvé. Comme ce berger de la parabole qui part à la recherche de sa brebis perdue (Luc 15:4-7).

Ce matin encore, dans le silence de ma chambre, cette parole m’a traversé le cœur : « Ne crains pas, car je suis avec toi ; ne sois pas troublé, car je suis ton Dieu » (Esaïe 41:10). Ce n’était pas une voix tonitruante, mais une présence, une certitude profonde : ceux qui osent tendre leur cœur vers Lui, même à tâtons, même avec leurs doutes, Il les rejoint.

Cela peut prendre du temps. Des années parfois. Des décennies comme moi. Ou bien surgir en un instant, comme une révélation. Dieu n’est pas pressé. Il attend patiemment que nous cessions de courir dans tous les sens pour enfin nous arrêter et L’écouter. « Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui » (Apocalypse 3:20).

D’oser Lui dire : « Si Tu es là… montre-Toi. » Aujourd’hui je peux témoigner : Il répond. Pas toujours comme on s’y attend, pas toujours quand on le voudrait. Mais Il répond. Par une paix soudaine, une parole qui résonne, une main tendue au bon moment.

En réalité, je sais que même quand on a l’impression de parler dans le vide, il n’en est rien parce que ce Dieu que nous cherchons nous cherche bien plus encore.

Alors, que vous vous décriviez comme athé.es, religieux.ses, chercheurs.ses, agnostiques…Et si vous tentiez l’expérience de Lui demander de se montrer à vous?

« Approchez-vous de Dieu, et il s’approchera de vous » (Jacques 4:8).

Et si c’était la clé ?

Et si Dieu répondait vraiment aux cris du cœur ?

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