Texte inspiré par la danse de Siren Godø – à découvrir ici : https://youtu.be/WFaOX6qJg6U?si=kDBj9Tja_rYZBWhM
Quand le corps adore la père : une prosternation sans paroles,
Aujourd’hui, je partage une danse.
Pas un spectacle.
Une présence offerte au Père seul.
Siren Godø, comme posée sur les eaux,
chaise suspendue entre ciel et océan,
fait de son corps un murmure sans parole.
Ses mains écrivent l’invisible,
ses épaules portent l’adoration,
ses yeux boivent la lumière de Celui qu’elle ne voit pas.
Pour Lui. Rien que pour Lui.
Dans cette vidéo, chaque geste est un psaume. Ses bras dessinent la présence, ses doigts effleurent l’invisible. La chaise n’est pas une limite, elle est l’autel où le corps s’abandonne.
Jésus dit : « Mon Père cherche ceux qui l’adorent… en souffle et en vérité »
Le verset 23 en Jean 4 est si parlant : « Mais l’heure vient, c’est maintenant, où ceux qui se prosternent en vérité se prosterneront devant le père dans le souffle et la vérité. Oui, le père cherche ceux qui se prosternent ainsi. »
Il ne dit pas : « Adorez-moi »,
mais : « Le Père seul est digne.
Laissez votre âme respirer Sa présence.
Que vos gestes soient l’écho d’un cœur tourné vers Lui. »
Que notre adoration soit aussi simple qu’un enfant qui se jette dans les bras de son Père !
L’adoration vraie commence surement quand nous arrêtons de danser pour Dieu… pour laisser Dieu danser en nous, comme cette adoratrice !
[Cette méditation est inspirée par la danseuse dont l’adoration est si éloquente, elle ne s’appuie pas sur les paroles du chant]